Artur Nogal, la concurrence sur le marché de la vente de carburants est relativement vive, surtout dans les grandes villes. Pourriez-vous nous dire ce qui, selon vous, est le plus important dans ce métier ? L’emplacement des stations-service, un réseau étendu ou une offre élargie hors carburants ?
Artur Nogal : « Le secteur des carburants est en effet exigeant, et j’ai la conviction que les machines Fortador, particulièrement innovantes, permettent à nos points de vente de se démarquer de la concurrence. Dans ce métier, outre les éléments que vous avez déjà mentionnés, tels que l’emplacement des stations-service et le fait de disposer d’un large réseau, chaque détail compte. Mon expérience montre qu’un client qui recourt au lave-auto pour nettoyer rapidement la sellerie, parce que, par exemple, un enfant y a renversé du jus de fruit, entre généralement dans le point de vente et en profite pour expédier un colis, acheter une nouvelle housse de siège ou tout simplement prendre un bon café. Ce client sera ensuite plus enclin à revenir dans cette station-service. Voilà en quoi ces détails se révèlent si importants. »
Les appareils SELF WASH ONE viennent compléter l’offre de vos stations-service depuis plusieurs années. Qu’est-ce qui a motivé ce choix ?
« Ce sont des machines agréables à utiliser, modernes et originales, et présentant un grand potentiel commercial, surtout au printemps et en été, lorsque la fréquentation dans les stations-service et l’intérêt pour les lave-autos en libre-service sont les plus élevés. J’ai commencé avec un seul nettoyeur vapeur, après avoir lu avec intérêt une brochure publicitaire, et après quelques mois d’utilisation ce choix s’est révélé particulièrement judicieux ! Aujourd’hui, je dispose déjà de six appareils de ce type, répartis en divers endroits, et je n’ai pas encore dit mon dernier mot ! Les stations de lavage en libre-service fonctionnent très bien et les clients sont ravis ; cela nous permet de développer notre activité !
Il est essentiel que les machines fonctionnent parfaitement 24h/24 et qu’elles répondent aux attentes des clients. Une fiabilité à toute épreuve est sans aucun doute la clé du succès. Certaines des machines que nous possédons ont déjà plusieurs années et sont toujours en parfait état de fonctionnement. Néanmoins, ce ne sont que des machines et il peut arriver qu’elles refusent de coopérer ; c’est alors que Marek Chaciński de chez Fortador intervient. Un grand merci à lui pour son service d’assistance instantané et l’optimisation des temps d’attente. »
Lors du choix des appareils du catalogue Fortador, avez-vous également été guidé par les notions d’écologie et de limitation de l’impact négatif sur l’environnement ?
« Oui, absolument. L’écologie est en effet très importante à nos yeux. Les machines fonctionnent à la vapeur et pour cela utilisent de l’eau, seulement de l’eau. Elles permettent en outre l’utilisation d’un produit de nettoyage écologique. Mais ce que j’apprécie le plus dans ces machines, c’est qu’elles laissent la place à la créativité et offrent beaucoup de possibilités à leur propriétaire. En effet, nul besoin de posséder une station-service ou votre propre lave-auto pour dégager des revenus avec de telles machines. Tout ce qu’il faut, c’est une bonne idée. »
Pouvez-vous nous donner un exemple ?
« J’ai récemment entendu l’histoire inspirante d’un entrepreneur hongrois qui a loué un emplacement sur un parking de l’une des célèbres chaînes de supermarchés de Budapest afin d’y installer un lave-auto. L’appareil générait tellement de profits que tout le monde pensait qu’il s’agissait d’une erreur système. Mais il s’est avéré que la nuit, il y avait de longues files d’attente de l’ordre de 5 à 6 heures, car les chauffeurs de taxi souhaitaient nettoyer la sellerie de leur véhicule. Les bénéfices battaient des records ! Les clients aussi font preuve d’imagination quant à l’utilisation des lave-autos. Je me souviens encore de ma surprise lorsqu’un jour un chauffeur avec une remorque attelée à sa voiture est venu au lave-auto en libre-service afin de nettoyer le canapé qu’il transportait dans sa remorque ! Ainsi, lorsqu’il s’agit d’utiliser les machines de manière créative, il n’y a pas de limites ! »
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